Jeux Vidéo

Bilan de mes jeux vidéo en 2017

Toujours à l’heure des bilans et au moment de démarrer sereinement 2018, petit retour sur les jeux vidéo sur lesquels j’ai perdu mon temps pris du plaisir tout au long de l’année.

2017 a été une grosse année pour moi en termes de jeux vidéos. C’est d’ailleurs actuellement mon hobby principal avant la lecture. Je suis pourtant loin d’être un « hardcore gamer » !

Longtemps joueur de World of Warcraft, j’ai délaissé ce jeu (et le genre MMO en général) après y avoir replongé quelques temps en 2016. Je diversifie davantage mes expériences de jeux en me frottant a différents style.

Voyons donc ce qui a été au menu de cette année passée !

The Witcher III : Wild Hunt

Bon d’accord, c’est un jeu que j’ai terminé en 2017 mais que j’avais laissé traîner une bonne partie de 2016, faute de temps.

Ça me donne une bonne excuse pour en parler ici !

Et qu’en dire sinon : « Waouh ! » ? Bon je sais, dit comme ça, c’est un commentaire un peu pauvre… Mais franchement, ce jeu est tellement un must que les superlatifs manquent.

Bien écrit, bien réalisé, des graphismes époustouflants (chose aisée de nos jours, mais ici cela reste vrai y compris sur des configurations modestes), un monde ouvert qui sert l’univers et le propos du jeu et pas seulement le discours marketing, des personnages haut en couleurs et attachant…

Bref : ce jeu est une tuerie ! Fidèle au matériau de base que constituent les livres sans en rajouter inutilement dans le graveleux pour buzzer sur l’aspect « sexe et nudité ».

Les deux extensions GRATUITES délivrées par les développeurs sont de véritables bijou également et on achève le soft à regret tant on prend plaisir à parcourir les immenses étendues vivantes quoique dangereuses !

Le peu d’empressement du studio à envisager une suite ou au moins un nouvel opus dans l’univers proposé en dit long sur le respect que les développeurs ont pour les joueurs et l’oeuvre originelle. EA devrait en prendre de la graine !

En attendant une telle opportunité, je compte poursuivre la lecture des livres originaux débutée en 2016 et redoute quelque peu l’arrivée de la série sur Netflix, en espérant qu’ils ne pondront pas un truc à la Bright

For Honor

For Honor est un jeu Ubisoft, sorti le jour de la Saint Valentin (GG les mecs) et auquel je joue encore actuellement.

Pour faire simple, il s’agit d’un jeu de baston dans un univers où les Chevaliers, les Samouraïs et les Vikings se fritent pour contrôler un territoire. Il s’agit bien entendu d’un monde imaginaire, dans un contexte de guerre millénaire. Tout le pitch du jeu repose sur le postulat que ces braves gens se battent sans savoir au final pourquoi tout cela avait commencé.

Il y a plusieurs modes de jeu : un contre un, deux contre deux, et quatre contre quatre dans un mode appelé « Dominion » et qui regroupe la majorité des joueurs. On peut jouer contre d’autres joueurs où contre une IA (IA qui peux également servir à combler les joueurs manquants lors des parties classiques).

On s’affrontent donc sur plusieurs cartes, aux dispositions variées, alternants les terrains dégagés, les bâtiments, des ravins où il est possible de jeter ses adversaires, etc. et selon différents modes de jeux : au plus fort des cinq manches, aux points pour le dominion, etc.

Il y en a pour tous les goûts et des modes de jeu ont encore été ajoutés récemment.

Le jeu repose sur un principe de compétition et chaque faction se bat pour contrôler le plus grand nombre de zone à la fin d’une saison. Une saison est composée de 5 manches durant chacune deux semaines. Nous en sommes actuellement à la quatrième saison. Chaque saison apporte son lot de nouveautés : nouvelles classes jouables, nouvelles cartes, nouveaux modes de jeu, etc…

J’ai énormément squatté la saison un que ma faction (les chevaliers) a perdue en bonne troisème place. J’ai un peu moins participé à la saison 2. Quant à la saison 3, je n’y ai presque pas touché. Je suis un peu plus assidu sur la saison 4, mais comme je suis un peu rouillé, je galère un peu !

Graphiquement le jeu est magnifique : les décors sont splendides, l’animation des personnages est fluide et irréprochables et puis on en prend plein les yeux !

S’il est toujours aussi joussif de « maroufler du péon » en multi, il faut bien admettre en revanche que la « campagne » solo tient tout juste du tutoriel un peu longuet plutôt que d’une vraie campagne. Quand on vient de terminer The Witcher, c’est un peu rude même si le jeu est très beau visuellement.

Le jeu semble plutôt bien vieillir et il y a toujours du monde prêt à se lancer dans la bataille. Les interactions avec les autres joueurs sont assez faibles au final et on enchaîne les batailles avec frénésie toujours en quête d’un équipement toujours plus puissant et stylé !

En conclusion, il s’agit d’un bon passe-temps malgré ses quelques défauts : répétitivité, modèles économique à base de lootboxes et season pass, comportement déshonorable de certains joueurs (mais cela ne fait-il pas partie du jeu ?).

A voir comment cela va évoluer en 2018, mais je continuerais certainement à y faire un tour régulièrement pour poutrer du viking !

Deus Vult !

Divinity Original Sin II

Trop peu de temps de jeu hélas sur ce RPG au tour par tour. Un style de jeu que j’ai trop peu pratiqué hélas, mais auquel je n’aspire qu’à progresser !

Les graphismes sont superbes et l’univers extrêmement bien écrit. En même temps c’est un jeu de rôle réputé pour sa qualité.

Je dois passer plus de temps à maîtriser les différents aspects du jeu pour en tirer vraiment profit.

Au menu de 2018 donc !

Prey (Critique)

Je ne vais pas m’étendre sur ce jeu, que j’ai certes terminé, mais avec un peu d’aide, comme je le disais dans l’article que je lui ai consacré.

Malgré les qualités indéniables du titre, je n’y ai pas encore retouché. Peut-être ne le ferais-je jamais.

Portal 2

Ah les soldes Steam ! L’occasion de faire le plein à peu de frais.

En l’occurrence ici pas pour une nouveauté mais pour un « classique » que j’avais en ma possession par le passé mais perdu lors d’un changement de PC.

Toujours agréable à refaire. Un jeu drôle, prenant, à la difficulté dosée. Je me suis même risqué cette fois-ci aux maps créées par les joueurs. Ardues mais plaisantes !

Vivement Portal 3 !

Everspace

Petit jeu découvert par hasard et sur lequel je ne cumule pas beaucoup de temps de jeu.

Le principe ? Le joueur pilote un vaisseau spatial dans un mode très arcade et doit passer de monde en monde en remplissant un certain nombre d’objectifs : détruire des vaisseaux ou des astéroïdes, collecter des objets, etc.

Ce n’est donc pas une simulation spatiale à la différence d’un Elite Dangerous mais les environnements spatiaux créés de manière procédurale sont très beaux et on prend énormément de plaisir de passer de l’un à l’autre. J’imagine que le niveau de difficulté augmente au fil du temps.

A confirmer en 2018 (sauf si Star Citizen sort cette année #LOL).

Playerunknown Battleground (PUBG)

Faut-il encore présenter cet ovni sorti de nulle part et au succès fulgurant ?

J’était passé relativement à côté et c’est au détour d’une vidéo Youtube et en voyant pour la première fois les principes du jeu que je me suis mis à me documenter sur le jeu.

Après quelques semaines, et voyant l’ampleur que prenait le phénomène, j’ai franchi le pas.

J’ai pas mal d’heures de jeu au compteur et il faut admettre que le soft est prenant. Les développeurs ont apportés pas mal d’améliorations au fil des patchs, même si je regrette le retrait (on espère temporaire) des effets météo (brume et pluie) qui apportaient un peu de piment aux parties.

Chaque partie est différente ne serait-ce que par le point de parachutage de départ, les joueurs en face de vous, l’aléatoire des loot, etc.

Je l’avoue, je suis un joueur assez prudent, adepte du camouflage et du « camping ». J’ai gagné pas mal de partie en la jouant fine, sans jouer le gibier ambulant !

Nous verrons ce que l’avenir nous réserve sur ce jeu, en espérant que le ranking ne lui fasse pas perdre son âme !

Redout

Addictif !

J’ai rarement enchaîné les parties sur un jeu vidéo aussi souvent que sur ce jeu. Il faut dire que le titre s’y prête et est clairement conçu ainsi.

La frénésie que procure la vitesse ahurissante des bolides que l’on contrôle est démente. Le jeu est par ailleurs plutôt bien pensé, avec des circuits variés, alternant courbes généreuse et tracés plus techniques. La physique des bolides est très réaliste et on prend un vrai plaisir à ajuster sa trajectoire au millimètre.

Seul bémol, les DLC… C’est pas sur le principe mais sur le prix demandé pour le faible contenu qu’ils proposent. Mais surtout, les courses supplémentaires sont intégrées dans la liste des courses qui défilent et qui s’enchainent et tu découvre qu’il faut payer au moment de lancer la partie. Frustrant.

Voilà. Donc le jeu de base est déjà excellent et assez riche. Si l’éditeur fait un geste sur les DLC, via un pack par exemple, je verrais si je cède à la tentation. Pour le moment, pas d’urgence !

Echo

Mon échec de l’année. Clairement. Juste devant mon run foireux sur Prey.

Cela arrive régulièrement que je ne termine pas un jeu ou que je ne l’exploite pas à fond pour les jeux n’ayant pas de fin scénarisée. Mais il est extrêmement rare que je me fasse rembourser un jeu… Et là, c’est ce que j’ai fait.

Le pitch du jeu est hyper alléchant : l’IA apprend de vous et tout ce que vous ferez pour vous défaire de vos adversaires se retournera contre vous. Le palais mystérieux dans lequel on évolue est superbe, notamment le travail sur la lumière qui est prodigieux.

Mais le problème, c’est que bien avant les deux heures au-delà desquelles le remboursement sur Steam n’est plus possible, et bien j’avais l’impression d’avoir fait le tour de la question. Mais surtout, les « reboot », c’est à dire les séquences d’extinction et de « redémarrage » du palais (qui se matérialisent pas un jour / nuit) étaient de plus en plus fréquentes. Cela donnait une expérience de jeu très saccadée. Alors bien entendu, cela participe de l’aspect anxiogène et renforce le sentiment de claustrophobie, mais cela hache tellement la progression qu’on a l’impression de devenir épileptique…

Si on ajoute à cela le fait que la fin du jeu ne semble pas apporter la satisfaction attendue, à savoir obtenir des réponses à tous les mystères soulevés pendant la partie (information lue à plusieurs reprises, par hasard, alors que je cherchais un peu d’aide sur un point précis), le jeu perd vite de son intérêt.

Je retenterais peut-être l’expérience un jour, à l’occasion de soldes probablement.

Ghost Recon Wildlands

Acheté sur un coup de tête (et une promo) je renoue ici avec les jeu estampillés « Tom Clancy ». Plus Splinter Cell (que j’ai tous fait) que Ghost Recon (le dernier que j’ai du faire doit remonter à plus de 10 ans… ), les critiques élogieuses de ce titre ont fini par me convaincre.

Je ne suis hélas pas allé très loin dans le jeu et n’ai pour le moment que pataugé quelques kilomètres en Colombie.

Le jeu est toutefois nettement moins linéaire que ne pouvaient être ses prédécesseurs et je n’aspire qu’à me replonger dedans en 2018 !

Mass Effect Andromeda (Critique)

Non, j’ai pas envie de reparler de ce jeu… C’est un fiasco intégral, à tel point qu’aucun autre Mass Effect ne pourrait voir le jour ! Quel gâchis. Prémonitoire de ce qui allait se passer avec Battlefront II tient…

Ce jeu est inutile. Passez votre chemin !

Need for Speed 2016

Un jeu clairement à oublier… Pauvre aussi bien graphiquement que scenaristiquement (bon, ok, les NFS sont pas réputé pour leurs scenario mais quand même…).

Des cut-scene interminables, une maniabilité sur PC abominable…

Bref, de l’argent jeté par les fenêtres !

Assassin’s Creed Origins

J’avais envie de terminer par ce jeu. Déjà parce que c’est celui que j’ai fait en dernier, mais surtout parce qu’avec tout ce que j’ai brassé comme mauvaises expériences, je voulais terminer par quelque chose de positif !

C’est mon jeu de l’année. Clairement !

D’une part j’aime beaucoup le franchise Assassin’s Creed. Pas assez pour les avoir tous fait, et j’avoue que le 3 m’a un peu déçu ce qui m’a éloigné de la série jusqu’à la sortie de celui-ci. Le rythme de sortie annuel n’encourage pas non plus : on a a peine terminé un opus qu’il faut enchaîner comme des hooligans dans une maison close en Allemagne pendant la coupe du monde.

Pour tout dire, j’étais parti pour laisser passer celui-ci encore. Black Flag, Unity et Syndicate ne m’avais pas du tout fait de l’oeil.

Et puis, en regardant d’un peu plus près, et par tendresse pour l’Egypte Ancienne (je voulais devenir archéologue quand j’étais petit !) je me suis laissé tenter. Bon, le black friday a joué aussi.

Et je ne regrette pas !

Tout y est mieux que dans mes souvenirs : les combats, les graphismes, la map énorme !, le contenu hyper dense, la tension de l’histoire, etc.

Bref, un pur bonheur ! Je me prend presque à rêver d’un nouvel épisode pendant la Rome ou la Grèce Antique, tant cette période se prête particulièrement bien à la série !

Sans parler du mode photo qui donne une dimension contemplative supplémentaire en plus des points de vues en altitude.

Ça a failli être un acte manqué et s’eu été dommage.

Si vous ne l’avez pas encore testé, je vous le recommande chaudement !

Ce que je souhaite pour 2018

De bons jeux avant toute choses. Des modèles économiques respectueux des joueurs et des développeurs. En effet, qu’y a t-il de gratifiant à faire coder un système de loot aléatoire dans des boites ?

De la nouveauté et de la prise de risque : arrêtons les reboot et les suites sans saveurs. Vivement de nouvelles licences, de nouveaux univers !

Je souhaite de bonnes découvertes. Steam est une place idéale pour découvrir. Je n’ai pas assez tenté en 2017, me limitant à de grosses licences « sûres » en termes d’expérience et de gameplay.

Enfin, vœux pieu certainement, j’espère tellement qu’on arrête avec la professionnalisation des joueurs. Dire qu’on envisage que cela puisse devenir une discipline olympique… Mais je vais passer pour un vieux con ! Je reviendrais sur ce sujet en cours d’année.

Je souhaite à ceux d’entre vous qui joue à leurs heures perdues de belles aventures !

Maître de ces lieux

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