Fiction,  Livres,  Récap'

Recap’ de mes lectures de Décembre 2019

Ce mois de décembre a été assez léger avec seulement deux lectures, mais avec des livres assez denses.

Retour sur ces deux lectures du mois de décembre 2019 !

Le soulèvement de Persépolis

Le soulèvement de persépolis recap' lectures décembre 2019

Avec ce nouveau volume de la saga The Expanse, les auteurs ont trouvé une belle façon de prolonger l’univers déjà mis en place à travers le temps long.

Le nouvel arc narratif se déploie avec efficacité et cohérence, dans le prolongement des aventures déjà passées de nos héros.

La plume des auteurs est toujours aussi juste, et bien que le temps passe, les personnages sont toujours aussi empathique et attachant.

La tension dramatique est distribuée avec brio et donne plus que jamais envie de lire la suite.

L’un de mes coups de cœur de l’année !

Le problème à trois corps

Je continue mon entreprise de lire tous les romans ayant reçu le prix Hugo. C’est ainsi que je suis arrivé sur Le problème à trois corps de Liu Cixin.

En principe je suis assez méfiant lorsqu’un livre est adapté à l’écran, aussi bien au cinéma qu’à la télévision et que la promotion du livre tourne alors principalement autour de cet argument.

En général, cela témoigne soit :

  • d’une volonté de profiter d’un succès déjà avéré par les ventes et les retours positifs sur l’œuvre originelle
  • d’un pari sur le succès de l’histoire racontée
  • d’une flemme absolue de la part des producteurs qui se contentent d’une histoire déjà écrite au détriment d’un scenario original

La curiosité m’a néanmoins poussé à découvrir cet ouvrage pour mesurer par moi-même ce qui poussait à l’adapter.

Le fait qu’il s’agisse d’un auteur chinois revêtait également une source de curiosité supplémentaire car mes listes de lectures ne comprennent que (trop) peu d’auteur asiatique en général.

Autant le dire d’entrée : je n’ai pas accroché.

La structure du récit qui alterne entre différentes réalités m’a complètement perdu. C’était trop confus pour moi. Peut-être que la langue retenue par la traduction française n’a pas aidé (je ne peux hélas en juger).

Tout est-il qu’une fois la dernière page tournée, je ne comprenais pas pourquoi ce livre et cette série avait reçu autant d’éloge jusqu’à lui valoir le prix Hugo. Cela revêt pour moi du même mystère que ce qui pousse le jury du Festival de Cannes a systématiquement récompenser de la Palme d’Or des films hors de portée du grand public…

Pour bien faire il faudrait que je parvienne au bout des deux autres volumes, mais en l’état je ne m’en sent pas le courage.

Maître de ces lieux

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