Livres,  Récap'

Bilan de mes lectures d’avril 2018

Station : la chute

Un roman très particulier que celui-ci. Dans un style assez brut, le récit nous amène progressivement à éprouver de l’empathie pour un personnage qui, au départ, n’en n’appelle aucune. De la SF pure et dure mais qui y associe assez élégamment des questions existentielles. Je n’irai pas plus loin pour ma part sur ce livre, mais vous trouverez d’excellentes critiques ici, ici ou encore ici.

Annihilation

Premier volet de la trilogie du rempart sud et adapté par Netflix ce roman contient tous les ingrédients d’un acte manqué.

Comme souvent le pitch est alléchant mais c’est dans la réalisation que cela pêche… Quand l’énigmatique vire à l’abscons, c’est mauvais signe.

Il y a bien un petit quelque chose avec le casting 100% féminin qui donne un peu de personnalité au récit. Mais on tourne tout de même vite en rond et aucune des questions soulevées ne trouve de réponse…

Si on ajoute à cela le fait que ce n’est pas particulièrement bien écrit, ça nous donne un livre peu recommandable.

Fahrenheit 451

Il s’agit d’une relecture de ce grand classique. Ça fait du bien de temps en temps de revenir aux fondamentaux. Ce qui m’a toujours impressionné dans ce livre qui a marqué ma jeunesse, c’est, au delà de son thème angoissant, que l’auteur l’a rédigé en seulement neuf jours. A mettre entre toutes les mains pour éviter qu’un tel futur ne voit jamais le jour.

Le coup du paradis

Premier volet de la trilogie Yan Solo. Oui, en cette époque, tout le monde en France était convaincu que Solo se prénommait Yan. Sans doute le traducteur venait-il de Perros-Guirrec ?

Si ça n’atteint pas les sommets de certains autres space opera, le charme agit tout de même. On est heureux de découvrir une variation sur la jeunesse du plus célèbre contrebandier de la galaxie !

Le gambit du Hutt

Une bouffée de nostalgie à l’heure où la saga s’enfonce dans des abîmes de médiocrité marketing.

Des personnages haut en couleur, des contrebandiers par dizaine et une écriture enlevée. Que du bonheur !

L’aube de la rébellion

Fin d’une trilogie menée tambour battant avec un opus qui assume la lourde tâche d’assurer la transition avec « Un nouvel espoir ».

Si les dernières lignes du livre nous font glisser vers la scène mythique de la cantina, les pages qui précèdent ne sont hélas pas les plus inspirées. Le solo qui y apparaît est assez fantomatique par rapport à l’homme que l’on a suivi pendant trois opus et que l’on découvre dans les longs métrages.

Sans doute le biopic en préparation revisitera cet aspect des choses qui sont désormais exclues du canon officiel (ce qui est tout de même bien dommage).

Signe de vie (Critique)

Pas grand-chose à dire de plus que ce que j’ai déjà pu écrire. Je pense qu’après deux opus de cet auteur, je vais en rester là…

Mensonges et vérités (Critique)

Un des nombreux témoignage de l’intérieur sur ce qu’il se passe à la Maison Blanche en ce moment et les ravages provoqués par le blond à perruque…

Un excellent ouvrage, dont j’ai déjà dit le plus grand bien et dont la lecture est un régal pour quiconque s’intéresse un peu au leadership !

Maître de ces lieux

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